Chez nous, chez nous, chez nous, chez nous\\nChez nous, chez nous, chez nous, chez nous\\n\nC'est vraiment une chance qu'on ait fait connaissance\\nLorsqu'aux dernières vacances, tu es venu chez nous\\nTraversant l'Atlantique, tu avais, c'est classique\\nDes idées romantiques sur les gens de chez nous\\n\nCar depuis bien longtemps, aux yeux des étrangers\\nNotre vieux continent n'a pas beaucoup changé\\nC'est avec des façons qui datent de toujours\\nQu'en Europe les garçons font aux filles leur cour\\n\nIl n'empêche que l'on s'aime\\nEt qu'on peut sans problèmes\\nSe marier quand même\\nComme on le fait chez nous\\n\nTu voudrais m'emmener là-bas\\nDans la ville qui t'a vu naître\\nOù tout est grand, trop grand, crois-moi\\nOù les murs n'en finissent pas\\n\nMoi, je veux bien te suivre, mais j'ai lu dans les livres\\nQue le mieux pour y vivre, c'était encore chez nous\\n\nChez nous, chez nous, chez nous, chez nous\\nChez nous, chez nous, chez nous, chez nous\\n\nJe préfère aux grandes cités\\nLa douceur d'un petit village\\nOù sur la place les soirs d'été\\nOn peut s'amuser et danser\\n\nToutes ces différences dans nos deux existences\\nN'ont aucune importance pour être heureux chez nous\\nDans la rue j'habite, tout le monde t'invite\\nÀ devenir bien vite une enfant de chez nous\\n\nChez nous, chez nous, chez nous, chez nous\\nChez nous, chez nous, chez nous, chez nous